@Laulau
Question creuse tant qu’on ne s’interroge pas sur la signification excessivement confuse et attrape-nigauds du mot ’travail’ !!
’rendre le travail précaire en faisant du travail un besoin aléatoire’
Si l’on raisonne plutôt en termes antagonistes de corvées et d’otium,
alors on se rend compte qu’il est des corvées, personnelles ou
collectives, incontournables ( ... et qu’il serait peu futé de vouloir
en créer de superflues ! ).
La nature ontologique de ces corvées n’est aucunement dépendantes des caprices d’un ’patronat’ ou autre.
Un équilibre se forme immanquablement en fonction des règles du jeu en
vigueur (lois et efficience de leur mise en application) !
La vraie question, cachée, est sans doute ailleurs !
Si le ’marché de l’emploi’ était captif, au sein d’un pays dans
lequel chacun serait dépendant des mêmes règles du jeu, alors qui
pourrait se permettre de s’opposer à un équilibre éradiquant la misère
pour chaque contributeur potentiel aux corvées indispensables ?
Par contre, ce qui fausse la donne, c’est le chantage obtenu, en
attirant des corvéables contraints ailleurs (dans un autre pays ou
empire) par d’autres règles du jeu.
En gros : une fausse démocratie qui s’appuie sur le manque de démocratie ou l’indigence vécus à l’extérieur