Excellent en effet, l’auteur, NICOPOL a tout compris.
J’approuve tout, sauf peut-être la fin, les deux derniers § : ’’Ce nouveau virus-Terminator n’est pourtant pas si dangereux que ça pour l’Homme ’’.
Je ne serais pas aussi optimiste. Ce virus est un catalyseur de l’endettement des États et de la mise au pas des récalcitrants. Une aubaine pour les maîtres chanteurs. Quand on sait que derrière il y a des gens qui ne valent guère mieux que les dirigeants des Laboratoires Servier, on peut craindre le pire.
’’ Un objet n’apparaît pas
quelque part sans avoir disparu préalablement ailleurs. « C’est un jeu à
somme nulle »
Un jeu à somme nulle financièrement, peut-être, mais à quel prix ? Vous le dites vous-même : au prix de ’’La disparition de notre liberté avec le confinement, la
disparition de notre patrimoine avec la crise économique et financière,
la disparition de notre dignité avec le chômage et l’assistanat
généralisé qui en découleront.’’ Et j’ajoute : du sang, des larmes, et la ruine de notre écosystème.
nb. : Le Prestige est un film américano-britannique de Christopher Nolan sorti en 2006 et adapté du roman du même nom de Christopher Priest publié en 1995
traduit en français en 2001. Ce livre raconte la lutte entre deux
prestidigitateurs de la fin du XIXᵉ siècle.