@Spartacus Lequidam
rien à voir avec des bassines c’est la gestion générale de l’eau avec récupération des eaux usées gestion de la diffusion films anti-évaporation sur les cultures tout ce que le système agricole en zone désertique et surement pas de vastes étendues d’eaux à l’air libre facilement évaporables... L’eau est un bien plus que précieux qu’il faut protéger sans compter... 
https://faceiran.fr/citerne-eau-desert/
https://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/divers15-05/39357.pdf
La sècheresse en Europe a ceci de redoutable qu’elle n’est pas un zone semi aride mais une zone tempérée Les plantes les animaux ou les humains qui la peuple sont donc soumis à des habitudes différentes. Ce qui est ici sècheresse n’est que bonne saison dans les zones sahéliennes c’st un fait mais d’un autre coté le déséquilibre climatique du à l’activité humaine cumulé aux transformations naturelles de l’environnement nous conduisent tout droit vers un crise alimentaire que nous pourrions sous condition d’avoir un peu moins le melon résoudre efficacement. Manger des fraises du chili en décembre n’est pas une nécessité ou importer des pommes d’argentine quand on a fait arracher des milliers de plants pour satisfaire à la PAC n’est pas plus intéressant pour ceux qui viennent après. Il faut un quinzaine d’années selon la variété pour qu’un arbre soit productif encore faut il qu’il boive... Les bassines ne sont que l’expression d’une agriculture qui ne nourrit plus mais qui rapporte. Il y a des parts entiers de l’économie qui ne jouent que sur la fluctuation du prix du grain et comme la météo est en train de se transformer la production aussi et le grain va devenir de plus en plus rare donc de plus en plus cher tout cela dans l’intérêt de quelques traders qui jouent au Monopoly avec nos vies. Il ne s’agit pas de savoir si les gens préfèrent la blondasse ou si ils se couchent devant la merluche, il s’agit de savoir si on a vraiment l’intention de bouffer de la merde ou pire d’en être réduit aux fluctuations des intérêts immédiats des grands distributeurs. On ne peut certes pas préjuger de la météo de ces dix prochaines années mais vu comment la déflation hydrique commence à impacter sur les supers producteurs hexagonaux (pas les petits mais ceux qui travaillent sur 1000 ou 2000 hectares en mono culture) on ne doit pas attendre autre chose qu’un effondrement de la production céréalière... Le problème est fort simple mais rendu complexe. On nourrit d’abord ses proches et comme ça de loin en loin sauf qu’aujourd’hui la production française d’une partie du maïs est déjà vendue ailleurs par Cargill et autres... Alors quand on signifie aux céréaliers qu’ils font une grosse connerie avec les bassines tout du moins sous cette forme ils n’écoutent pas parce derrière la banque a qui ils doivent plus d’argent que n’en rapporte leurs boulot les pousse tellement au cul qu’ils finissent avec la 12 sous le menton.... Il ne s’agit pas seulement des bassines en tant qu’aberration écologique mais aussi en tant que symbole d’une aberration économique un marasme mis en place par les pseudo penseurs européens asservis aux puissances de l’argent... Bref en 2020 il y a 1 agriculteur pour 100 personnes en 1900 il y avait un urbain pour 8 campagnards... avec une tranche d’âge dans les zones pré retraite Des jeunes qui en veulent et qui veulent s’installer il y en a mais systématique la SAFER revend la terre à de déjà gros propriétaires (Bernard Arnaut touche la prime PAC) qui ne considèrent pas la terre comme une nécessité mais comme un investissement qui doit rapporter quelques soient les moyens de lui faire cracher... Scier la branche sur laquelle on est assis n’est pas glorieux c’est juste très con.. ; !