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Commentaire de Étirév

sur « Les FAUX en ÉCRITURES BIBLIQUES » siègent aux fondations de l'idéologie 'judéo-chrétienne'


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Étirév 31 janvier 09:55

Rappelons que l’Ancien Testament, sur lequel le Nouveau s’appuie, est un livre altéré, un livre destiné à cacher quelque chose. Si on ne sait pas qu’il y a déjà dans les anciennes Écritures quelque chose que l’on cache, on ne peut pas comprendre les nouveaux Évangiles, puisque c’est le même mensonge qui continue.
C’est Myriam « Hathor » en Egypte, auteure du Sépher qui servit à faire le premier livre du Pentateuque, la Genèse biblique (qui en sera la caricature, une « père-version »). Un temple lui a été consacré dans la ville de Denderah. Une des femmes qu’on donne à Moïse s’appelle Séphora. C’est ironiquement, sans doute, qu’on lui donne comme nom le titre du livre de Myriam, le Sépher.
NB : Myriam, Déesse glorifiée en Égypte et surnommée « Hathor », de Ha-thorah, « la Loi » en hébreu, c’est la grande femme dont le nom brille dans l’histoire du peuple d’Israël. C’est la grande prophétesse égyptienne que la Bible appelle « la Prophétesse Marie » et que les Catholiques ont désignée sous le nom de « Marie l’Egyptienne », mais dont on fera une sœur de Moïse, quand on inventera Moïse pour la cacher, ne pouvant pas la supprimer tout à fait. Précisons que c’est Philon d’Alexandrie qui, quelques années avant notre ère, écrivit la légende de Moïse (« De vita Mosis »), telle que nous la connaissons. Il s’agissait d’un roman sans aucune base historique et dans lequel il avait introduit les mœurs nées du Droit romain. Ce récit mensonger donna à l’homme glorifié sous le nom de Moïse une consécration et le fit entrer dans l’histoire. Aussi, avec le « Livre de la Sagesse », appelé en grec « Sagesse de Salomon », c’est, de beaucoup, l’ouvrage le plus connu du judaïsme hellénistique.
C’est le nom de Myriam qui, lu à l’envers, dans ses lettres hébraïques, a fait « Hiram », car « Hiram » doit se lire de droite à gauche comme lisent les Hébreux et non de gauche à droite suivant l’usage des Européens : Hiram alors devient Myriam ou plutôt Maria : Le heth « H » final en hébreu se prononce A.
Maria est devenue « Marie » chez les Gaulois. Maria est dite aussi « Marjolaine », dont on trouve trace dans une quantité de souvenirs antérieurs à l’invasion romaine.
Toutes les religions de l’antiquité ont adoré la Femme. Le Catholicisme l’avait d’abord supprimée pour lui substituer un homme. Mais, comme l’homme n’adore pas un autre homme, il en est résulté que le Catholicisme n’a été qu’une religion pour les femmes faibles, qui ont adoré le Principe mâle dans Jésus. Quant aux hommes qui ont voulu retrouver une satisfaction à donner à leurs aspirations religieuses, ils ont introduit dans leur religion le culte de la Vierge Marie, pour perpétuer l’antique culte de la Femme. Aussi, lorsque, après la conversion de Constantin, on chercha à introduire la religion nouvelle en Gaule, on comprit qu’il faudrait des siècles pour détruire le culte de la Nature, qui y régnait, et la glorification de Marie, l’antique Déesse égyptienne. Puis, dans la Gaule, déjà, on attendait la Vierge qui doit enfanter (Virgini Parituræ) ; on était donc préparé à la recevoir, mais on n’attendait pas un homme, d’autant plus qu’on voyait déjà, dans ce culte renversé des Catholiques, qui adoraient l’homme et n’adoraient pas la Femme, la cause des mauvaises mœurs qui régnaient partout et allaient prospérer…
Notons aussi que le personnage de Jésus sera vêtu, comme les femmes, d’une robe flottante.
Judaïsme
Christianisme


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