Il n’est que de prendre connaissance, jusqu’à la nausée, des seules commémorations qui intéressent la gôooooche, en particulier parisienne : les morts de Charonne, les Algériens noyés, le pauvre dévoyé Audin, affilié à un parti totalitaire qui applaudissait à l’écrasement de Budapest, complice d’une organisation de tueurs psychopathes qui posaient des bombes dans cafés et égorgeaient NOS soldats, pour déplorer la pensée unique de nos médias en 2012.
Sans le moins du monde être nostalgique de l’Algérie française, on peut dénoncer, encore et toujours, la perfidie d’un De Gaulle qui a manqué à sa parole donnée pour céder un pays à une bande de terroristes, dont les épigones ont été incapables de le gouverner sans corruption, guerres civiles, oppression depuis cinquante ans.