Bravo pour votre article sur un sujet effectivement préoccupant.
J’ai regardé les archives : Sarko à la même assurance et l’air matois que Richard Virenque, avant une étape de montagne, à cette époque où l’EPO lui permettait de faire des exploits.
J’ai vérifié : Un homme pas trop grand, moins d’1,65 peut facilement par derrière se glisser dans une de ces machines, et trafiquer les fils. Il devra juste faire attention à ce que le bout de sa cravate ne sorte pas de la machine.
A l’heure des bicyclettes de course équipées d’un moteur électrique caché, il faut remarquer que la politique ressemble de plus en plus à ce cyclisme de voyou, où le seul mot d’ordre est : Pas vu par pris !
Une seule solution :
Mettre les radars dans les bureaux de vote, et les machines à voter, dans le fossé, sur le bord de la route !
C’était dans la série : "L’humour est la politesse du désespoir !