Vous êtes émus lorsqu’un loup tue un mouton. Vous n’éprouvez rien lorsque l’homme tue 7 600 000 moutons par an, juste en France.
Vous êtes sensible, vous voulez faire cesser la souffrance ? Mettez vous une balle dans la tête. Ca sera des milliers d’existences que vous allégerez d’un poids. Des fourmis que vous écrasez tous les jours, aux milliers d’hectares qui sont dévasés chaque jours pour que vous mangiez, vous, l’auteur de ce texte, êtes plus nocif pour la nature que les loups que vous décriez. Vous faites d’avantage souffrir les animaux, êtres sensibles, que tous les loups du monde.
La sensibilité n’a rien à faire au niveau d’un débat de cet importance. L’important, c’est de conserver un certain équilibre sur Terre. Une diversité. Une harmonie. Le loup ne met aucune diversité en péril, au contraire de l’homme.