Bonsoir, kalachnikov
1) Le pire n’est jamais sûr !
2) Nous verrons bien ce qu’il se passera. Mais je vous rappelle qu’entre le référendum de 2005 et les conflits sociaux qui ont suivi, les moments d’expression de la colère ont toujours été suivis de périodes de fatalisme et de reconduction des mêmes types de pouvoir.
Qui sait s’il n’en ira pas de même ? Qui sait même si les Européennes ne donneront pas un résultat étonnant, du genre LREM et le RN devant, grosso modo à égalité, et tous les autres derrière, à la traîne et impuissants. Ce serait rageant, mais tellement français !