@Jonas

Si vous ne comprenez pas le fonctionnement du système immunitaire je vous l’explique Jonas. C’est simplement votre ignorance qui vous permet de me juger.

Pour vous, spécialement, je reprends.

Les injections actuelles font produire, dans un premier temps, à l’organisme, des protéines « spike » (qui est la protéine de pointe du SARS-COV2).
Dans un second temps, notre organisme produit des anticorps « spécifiques » à cet antigène qu’est la protéine spike. Ces anticorps (IgG, spécifiques) s’attaquent à la protéine spike. C’est parfait. 

Deux choses maintenant, spécialement pour vous. 

— Ces IgG anti-spike, vous l’avez peut être compris, c’est le rôle de l’immunité adaptative, sont « spécifiques » à un antigène bien particulier : l’antigène spike. Vous suivez jusque là ? Maintenant, notez bien que le SARS-COV2 a disparu et que ces anticorps anti-spike sont devenus « obsolètes » parce qu’ils sont « spécifiques » à l’antigène spike et ne sont pas « spécifiques » aux protéines de pointe des autres virus, des mutants donc, qui ne présentent pas les mêmes épitopes. Ces anticorps, que les injections nous font produire, sont totalement inefficaces contre les variants parce que leur « spécificité » s’applique à la protéine spike du SARS-COV2 et non à la protéine de pointe des autres virus. C’est ça la « spécificité » des anticorps !
— Les anticorps spike produits par l’organisme, les IgG anti-spike, avaient la capacité de se lier à la protéine spike pour la détruire. Mais ces IgG, en circulant dans le sang, étaient dans l’incapacité la plus totale d’agir sur les muqueuses des voies respiratoires. Celles ci sont protégées des attaques des agents pathogènes par un lourd dispositif dont font partie les IgA. Mais les injections n’ont strictement aucun effet sur les IgA ! Voilà pourquoi, cher Jonas, les injections ne pouvaient pas protéger de la transmission mais pouvait, le cas échéant, détruire les virus qui auraient investi l’organisme en s’agrippant à la protéine de pointe spike. Il est impossible aux IgG d’intervenir dans les muqueuses des voies respiratoires. Les « vaccinés » étaient donc des « transmetteurs » comme les autres, absolument comme les autres, comme les non vaccinés. 

Aujourd’hui ces injections qui font produire des IgG « spécifiques » n’ont strictement aucun effet sur les variants. Voila Jonas, j’espère que vous aurez compris. C’est finalement simple à comprendre.