@ Avatar
Merci du commentaire. L’examen par la Cour suprême des États-Unis de la méthode d’exécution par injection mortelle, si elle ne mène pas à l’abolition de la peine de mort, devrait faire prendre conscience à la population de la cruauté de ce châtiment. C’est effrayant de penser qu’un condamné exécuté en Floride, Angel Nieves Diaz, a grimacé, frissonné, les yeux grands ouverts, avant d’être pris de convulsions et de mourir au bout d’une longue demi-heure : les aiguilles étaient trop enfoncées et les poisons avaient été injectés hors de ses veines. Ce cas mérite qu’on s’y arrête un instant. Cela se passe dans un pays civilisé.
Pierre R.