L’auteur s’illusionne en partie sur le pouvoir d’internet. On ne gagne pas une élection avec des technologies, mais avec un bon discours et une symbiose avec les citoyens. L’utilisation d’internet peut accentuer le phénomene. Mais tant qu’internet sera libre, il sera difficile de convaincre avec des arguments tronqués ou de la propagande. Car le net est interctif, et la critique prompte, collective et continue.
Pas de quoi fouetter un chat(te).