Aurélien Péréol est pour le débat. C’est écrit dans l’article : il faut débattre. Il allait débattre :
Si je voulais employer le ton de persifflage très bien porté partout, je dirais il suffit de savoir lire : « Il faut débattre avec celles et ceux qui ne pensent pas comme nous, celles et ceux qui ne sont pas comme nous. » C’est la deuxième phrase du chapeau de mon article.