Le cinéma et la télévision ne montrent que des classes moyennes supérieures urbaines en général, Parisiennes en majorité : des notables dans tous les cas. Donc très peu de banlieusards, ruraux, salariés et toujours de manière caricaturale ou irréaliste, sauf si ils se sont « embourgeoisé », en ont adoptés tous les codes de « bonne » conduites sociale. Sinon, les « sous-citoyens » n’y ont que des problèmes insurmontables, dans le registre de la fatalité, du drame.
Pire, dans les médias, le bien c’est le beau ; le laid, le mal.
Tout est marketé, il faut créer de la frustration.