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L’Ankou 16 novembre 2010 17:23

Sauf votre respect, Lamartine fut un mondain dilettante, dépensier, qui tenta de tromper son ennui :
- en littérature, où sa poésie éthérée peut fort légitimement être jugée chiante et médiocre, surtout à la fin de sa vie ;
- en politique, où, progressiste assez timoré et trop légitimiste, il ne laisse, côté respectable, que sa signature sur l’acte d’abolition de l’esclavage, et, côté ridicule, que 0,28% de vote en sa faveur, à l’élection qui porte Louis-Napoléon Bonaparte au pouvoir.

Je ne suis pas sûr qu’il faille le citer en référence.



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