Cette Maiwen, c’est pas la femme de Luc Besson, par hasard ?
Une
fille de sérail comme tant d’autres....Le cinéma est de plus en plus une
niche élitiste, où les enfants des stars arrivent au monde avec déjà un
contrat en main.
Oh ! Mais c’est un métier si éprouvant.
tout juste si entre deux tournages on parvient à récupérer.
Marcello Mastroianni qui n’était pas un enfant de la balle, et qui avait été électricien avant de faire du théatre reconnaissait avec beaucoup d’humour la chance des acteurs de ciné, et se moquait de leur narcissisme.
Maïwenn fait de ce film une thérapie, nous
dit-elle. Ouai.....Qui aurait le mauvais gout de s’attaquer à tout ce
vernis artistique et émotionnel.
on est prié de pleurer dans les chaumières.
Beau battage de presse tout de même.
Tous
unanimes à reconnaitre au garde à vous le talent de l’artiste ; Il faut
aller chercher dans télérama et la critique du monde, pour s’apercevoir
qu’on ne perdra rien en ne pas allant voir ce film :
Instrumentalisation de la misère des enfants..Voyeurisme...
La scène
où les petits roms sautent de joie dans le car qui vont les amener dans
un foyer me parait complètement faux.. Même les enfants battus protègent
et excusent la plupart du temps leurs parents. On peut le regretter
mais c’est ainsi. Les ressorts psychologiques à l’œuvre sont trop
complexes pour être étalés ici.
Non, j’irais dans la salle d’à coté : The artist me semble valoir le voyage. Culotté de faire un fim muet à notre époque en 3D !