Cela dit, je ne trouve pas scandaleux que, par exemple, que le tribunal administratif de Nancy ait rejeté (décision du 18 octobre 2011) le droit à l’hébergement d’urgence à une famille qui, bénéficiant de l’aide au retour dans son pays d’origine, l’avait refusée. Ce choix ne la prive pas de tout droit opposable mais la déclasse dans la liste des priorités.