Je n’ai aucun problème avec cela, je suis contrairement avec ce que vous pourriez penser, tolérant.
Qu’un écrivain noir fasse un bon bouquin, très bien, qu’il soit français, très bien également (d’ailleurs je ne vois pas trop l’utilité de préciser qu’il est noir).
J’ai vécu dans une ville de France dans laquelle la proportion d’immigrés était assez réduite pour avoir d’une part :
- l’impression d’être en France.
- profiter d’une mixité curieusement réussie.
A ce stade, je pense qu’effectivement, on pouvait parler de rencontre, d’échange, ou de « vivre ensemble » puisque vous aimer astiquer ce terme langue de bois.
Mais cette situation, j’ai eu la chance de la rencontrer, et me rend compte qu’elle est rare.
Ici, en région parisienne, il n’y a aucune mixité, aucun enrichissement. Juste le fait de supporter péniblement le fait de ne plus vivre en France, mais dans la banlieue d’Alger et de Bamako.
Les politiques traitres ont mis purement et simplement en place un plan de colonisation des plus féroces. Alors venez pas me faire chier avec vos insultes de gochos « xénophobes » par ci « racistes » par là.
Il s’agit d’invasion territoriale, pas d’histoires de couleur de peau. Et les mœurs des arrivants n’ont strictement rien d’enrichissant.