Que cela fait du bien un coup de gueule passionné et tant de bon sens !
C’est bien ainsi que je ressens cette trahison du parti Hollandais, appelons le ainsi puisque le parti socialiste est mort.
Jean Luc Mélenchon énonce un combat et des valeurs qui sont les miennes. Mais les politiques qu’ils soient locaux, nationaux ou internationaux ont pour la plupart fait la preuve de leur fascination du pouvoir et/ou de l’argent. Alors ?
J’ai à côté de mon lit la toute récente biographie de l’homme pour tenter d’éclairer mon choix pour les présidentielles...
Un article récent de médiapart laisse entendre du flottement autour du MES et de son acolyte dont je n’ai pas retenu le nom du côté de l’Europe :
Un conseil européen bousculé par le référendum irlandais.
http://www.mediapart.fr/journal/economie/290212/un-conseil-europeen-bouscule-par-le-referendum-irlandais?page_article=3
"Après une succession hystérique de sommets « de la dernière chance » pour
sauver l’euro, le Conseil européen, qui s’ouvre jeudi après-midi à
Bruxelles, devait mettre en scène l’apaisement retrouvé. Les chefs d’État et de gouvernement devaient signer, sourire aux lèvres, leur
« pacte budgétaire », qui prévoit, entre autres, l’adoption de la règle d’or par
chacun des pays signataires. De quoi en mettre plein les yeux aux
marchés financiers, inquiets, depuis le début de la crise, de la
capacité de l’Union à jouer collectif. (...)
(Mardi,) la Cour constitutionnelle de Karlsruhe a bloqué les
pouvoirs d’une commission parlementaire sur la crise. Ce panel avait
été constitué pour prendre des décisions dans l’urgence et la
confidentialité, au nom du Bundestag, sur le soutien à l’euro. (...)
Un grain de sable, dans la grande mécanique bruxelloise, qui risque de
ralentir la mise sur orbite du futur « MES », le Mécanisme européen de
stabilité.
(...)Mais la plus violente des secousses de la semaine est venue d’Irlande.
En poste depuis moins d’un an, le premier ministre irlandais, Enda
Kenny, a pris son premier vrai risque politique, en annonçant la tenue
d’un référendum sur l’île sur le pacte budgétaire.
(...) Les institutions bruxelloises sont allergiques à ce genre de consultations populaires.
(...)Le pacte budgétaire ne serait pas pour autant caduc : il suffit que
douze pays, sur vingt-cinq, le ratifient pour qu’il entre en vigueur.
(...) De plus en plus d’États ne croient plus dans l’austérité massue imposée, pour le dire vite, par Berlin.« »