Il y a sûrement un point de consensus qu’il faudra trouver entre les intérêts de tout ce beau monde et les besoins en sécurité du peuple congolais. Sinon, un jour, tout le monde risque de tout perdre. En 1996, avant même l’arrivée de Laurent Kabila au pouvoir, un grand nombre de contrats miniers conclus par Mobutu avaient été passés à la trappe. Le scénario peut se reproduire et ce sera la fin de la fête pour les pillards.