Bonjour,
les informations du Figaro (liens de l’article) sont tirées de l’institution Global Finacial Integrity.
Attendu que cette institution a pour objectif de sauver le capitalisme en luttant contre ses tendons d’achille comme l’argent sale, on est sur que ces chiffres sont un MINIMUM de ce qui devrait revenir légitimemement aux nations dans lesquelles sont réalisés ces profits (ou mieux d’être répartis entre les nation selon leurs besoins).
Moralité : la crise en vrai, elle n’existe pas, et les plans de rigueur, en nous maintenant dans la difficulté nous empêchent de réfléchir sereinement.
Cdt.