xavier
votre première phrase se suffit à elle même, en vous lisant, je serais tenté d’écrire la même chose, mais comme je ne veut pas faire de la peine à un si évident scientifique, je vous remercie pour l’ensemble de votre oeuvre, et n’oubliez pas de m’inviter à nettoyer votre paillasson lorsque vous reviendrez sur terre recevoir un nobel.
ce sera une joie pour moi, même si je suis conscient de ne pas le mériter.
avec toute mon admiration sincère pour daigner s’attarder quelques instants sur le misérable que je suis.