L’erreur a été ce ne pas se servir du marteau et du pieu, quand on a fermé son cercueil.
Bien sûr, il nous reste les gousses d’ail à nous mettre autour du cou !
Mais certains s’aiguisent déjà les dents, pour tacher de lui ressembler ;
Autant dans la manière que dans le ton !
Les courtisans de tout temps sont légions
Et vernissent de leur salive le tapis rouge qu’ils déroulent devant lui !
Quand aux vendeurs de paratonnerres
De peurs et de parapluies
Ils se frottent les mains devant le commerce qui s’ouvre
Aussi surement que pour les comiques
Et les bonimenteurs de toutes espèces !