Je vois ce que vous voulez dire, mais dans l’article vous aviez l’air de dire que les non-croyants se verraient reléguer au rang de citoyens de seconde zone, car ne pouvant plus se marier, comme les esclaves de l’Antiquité. N’est-ce pas une crainte exagérée lorsqu’on sait que le libéralisme n’a pas pour but de favoriser les croyances religieuses ?