@ Gaspard Delanuit :
Je pense même que cette méthode inciterait davantage les vraies victimes à dénoncer les faits (indépendamment de la difficulté parfois à les prouver, ce qui vaut pour les hommes comme pour les femmes, pour les viols comme pour les fausses accusations). La suspicion sur les chiffres retombe en suspicion sur les vraies victimes.
Cela permettrait également de cerner un fait criminel sans la stigmatisation de genre sous-jacente.