Fillon est poussé par les anti-Copé. C’est son seul moteur au fond. Tout seul, il ne lutterait même pas. Fillon n’a pas la carrure pour être président. Son juge le plus pertinent reste Sarkozy lui-même, qui ne pensait pas grand chose de lui et l’avait choisi pour son côté fâlot et inoffensif - voilà un premier ministre qui ne lui ferait jamais de l’ombre ! Si jamais Sarkozy décidait de revenir, il se ratatinerait plat comme la crêpe qu’il ne cessera jamais d’être.