Je crois qu’un point de convergence nous unit, il ne faut pas sacrifier à la tyrannie du manque. L’homme n’a pas à se plier aux déficits de l’humain mais à amplifier les possibilités de chacun. Donner les moyens aux talents en respectant les règles d’équité. Le manque est le signe des éclopés de l’existence, satisfaire au manque, c’est se plier à la subjectivité paresseuse.