Et si le divertissement était, comme le rire bergsonien, le propre de l’homme ?
Je ne crois pas qu’il faille condamner l’usage du divertissement qui, à défaut de nous transformer (le converstissement, néologisme ) nous donne une humanité et ma foi, regarder quelques émissions pour se distraire n’a rien de déshonorant et c’est même prescrit par quelques docteurs de la Sorbonne.