Chacun a son point de vue. Très clairement, si quelqu’un que j’aime beaucoup venait à souffrir beaucoup sans possibilité de rémission, et avait exprimé auparavant son envie de partir dans une telle situation, alors oui, sans la moindre hésitation, je la débrancherai, ou lui injecterait une plus grande dose de morphine. Et sans le moindre remords. Et j’aimerais qu’on fasse la même chose pour moi, me laisser partir sans être triste de mon départ. Au contraire, en étant heureux de m’avoir allégé les souffrances.
La mort d’un proche qu’on aime n’est pas toujours un déchirement, je vous assure. A chacun sa philosophie. J’ai été très heureux de savoir mon grand père parti, après 3 années de souffrances en fin de vie. Car enfin il ne souffre plus.