« Tout le monde a oublié que nous parlions d’êtres humains... »
Je comprends bien votre point de vue, mais nous avons tous notre vécu, nos expériences, nos sensibilités, notre perception du monde, notre vision de l’avenir.
Vous-même, vous avez les vôtres, et c’est votre droit le plus strict. Mais le droit que vous n’avez pas, en revanche, c’est celui de nous imposer les conséquences de vos états d’âme.