C’est absolument faux. Il y a une gauche et une droite et elle se distinguent par deux critères forts :
1 à 3 % de PIb en plus ou en moins pour les ménages et entreprises ou pour abonder le train de vie des fonctions publiques et leurs dépenses de fonctionnement.
Plus ou moins de volonté de gérer la vie des gens et de changer la société, y compris de façon très volontariste, par l’instrument de l’État.
Et même si cela peut sembler pas grand chose, c’est suffisant dans les conséquences concrètes pour qu’à tous les derniers scrutins, 70% des électeurs aient exprimés clairement leur rejet de ce qui s’appelle encore les gauches.