Pour le coup, Kropotkine a superbement synthétisé le processus révoltutionnaire mais on peut noter que notre moment est très particulier : besoin de vie nouvelle, certes, c’est clair qu’on étouffe, on devient dingue à la longue, mais nulle idée nouvelle. Rien, nada. Bordel sans nom, hystérie sans fin. La foule n’a qu’une idée qui vire au fixe : passer ses nerfs. Ressentiment pur et bestial.
Je crois que c’est parce que nous vivons la fin de l’ère des masses et la fin de l’aliénation Nombre (quelle ignominie, quand j’y pense, j’en ai des frissons de dégoût.).