« ...si les terroristes étaient passibles de la peine de mort, cela changerait quelque chose ? »
Dans un premier temps, cela éviterait déjà les prises d’otages visant à leur libération. On peut toujours dire : « On ne cède pas au chantage » devant son ordinateur, quand les djihadistes auront abattu une jardinière d’enfants et qu’ils menaceront de tuer un enfant toutes les heures à partir fr l’échéance qu’ils auront fixée, la donne sera différente.