Cet article m’étais passé sous le nez ! Je ne peux qu’adhérer à ce petit témoignage.
Cependant, longtemps, longtemps après que les poêtes ont disparu, leurs chansons courent encore dans les rues.
Et s’il fallait faire un portrait de la société, je peindrai la fraîcheur du vent le bruit des bêtes de l’herbe...
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