Oui, mais plus subtilement, l’auteur explique et justifie aussi sa propre impuissance...En ce sens, il est islamophobe et ouvrièrophobe, mais il est aussi luimêmeauphobe. Au fond ce qui lui permet quand même de conserver son mépris pour les deux première catégories, c’est que lui, il le sait, « il a conscience »....que rien dans ses paroles ou ses actes n’apporte rien au reste du monde mais qu’heureusement, c’est la faute des américains...