Je me réécoutais justement hier soir « Story of Isaac » de Leonard Cohen (sur l’album « Songs from a Room »).
Pour le meilleur comme pour le pire, l’homme reste l’homme. Et si « Au commencement était le Verbe » (Evangile selon Saint-Jean, 1,1), l’homme « créé à son image et à sa ressemblance » trouvera toujours les raisons aptes tant à justifier l’abjection que réaliser le sublime.
Cordiales salutations et, suivant différentes formules en usage :
« Paix aux hommes de bonne volonté » !
« שָׁלוֹם עֲלֵיכֶם »
« السلام عليكم »