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Un des complices, c’est le sénateur US John McCain...et ses contributeurs financiers.

D’abord écoutez attentivement cette entrevu ( traducteur français de France24 ) de McCain a France24 du 19 Novembre 2015 : 
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McCain veut l’envoi de 10 000 soldats américains en Syrie - YouTube
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Il s’agit des derniers soubresauts du porte-parole du réseau sioniste infiltré au sein même de l’administration US. Il faut savoir qu’il y a en plus un conflit personnel entre McCain et le Démocrate John Kerry. (depuis plus de 25 ans ).
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Pour comprendre ce véritable psychopathe , il prendre connaissance des tortures que les Nord-Vietnamiens lui ont infligé :
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D’un site généralement manipulé par les américains :

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Un peu plus tard, le 26 octobre 1967, au cours de sa vingt-troisième mission de bombardement au-dessus du Nord-Viêt Nam où son objectif est la centrale électrique d’Hanoï, son avion est abattu par un missile sol-air SAM-2. Lorsqu’il s’éjecte, la violence du choc lui brise les deux bras et une jambe. Tombé en parachute au milieu du lac du Bambou blanc, situé au cœur de la capitale nord-vietnamienne, il manque de se noyer lorsque des habitants le tirent de l’eau, lui arrachent son équipement et le rossent4.

Récupéré par les soldats nord-vietnamiens, un garde transperce son épaule avec la baïonnette de son fusil tandis qu’un autre lui perce la cheville. Il en gardera des séquelles physiques toute la vie5 comme une cicatrice sur la tempe, un bras gauche qui ne se lève plus, une jambe qui traîne un peu et une démarche assez raide6.

Grièvement blessé, il est emmené dans une prison où il est jeté dans une cellule à même le sol. Durant quatre jours, il est interrogé et battu. Au cinquième jour, quand les Nord-vietnamiens découvrent qu’il est le fils d’un amiral américain, il est transféré dans un hôpital où il reçoit des transfusions de sang et de plasma. Au bout du dixième jour d’hospitalisation, un membre du bureau politique du Parti communiste vietnamien lui annonce qu’il va parler à la télévision française. À la suite des menaces qu’il encourrait pour la suite de son hospitalisation s’il persistait à refuser, John McCain obtempère et reçoit la visite du journaliste français de l’ORTF François Chalais. Ce dernier diffusera dans l’émission Panorama7 les images de McCain déclinant son identité et en donnera une copie à l’épouse du pilote6,8.

En mars 1968, il parvient pour la première fois à se tenir debout et à marcher mais il est alors placé pendant deux ans en isolement total. Suivront ensuite trois années de mauvais traitements, de solitude et d’angoisse. Prisonnier de guerre, il est ligoté et humilié régulièrement par ses geôliers qui lui cassent à nouveau le bras ainsi que quelques côtes6. Roué de coups pendant des jours ou suspendu par ses bras fracturés, il en vient à signer des confessions de piraterie aérienne, avant de tenter de se pendre dans sa cellule9.

En juin 1968, il refuse, par solidarité avec ses camarades, une offre de libération anticipée lorsque ses geôliers, réalisant que son père venait d’être nommé commandant en chef du United States Pacific Command, ont espéré en faire une opération de propagande10. En décembre 1969, John McCain est transféré à la prison de Hỏa Lò (en), le « Hanoï Hilton », construite par les Français en 1945. Cette fois, il n’est plus en isolement total et peut communiquer avec d’autres Américains, notamment un compagnon de cellule qu’on lui adjoint. À plusieurs reprises, il refuse de rencontrer des délégations étrangères de pacifistes venues à Hanoï, ce qui lui vaut de nouveaux coups et blessures6.

En janvier 1972, son père, amiral en chef de la zone Pacifique fait bombarder Hanoï par les B-52 en dépit des risques pour son fils, toujours prisonnier au Nord Viêt Nam3.


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