@pirate
Il s’agit donc bien, au départ, d’un manque d’information, hélas. Voila ce qu’on aurait dû vous dire (dès que votre état permettait que vous l’entendiez) : http://www.infirmiers.com/etudiants-en-ifsi/cours/cours-psychiatrie-les-bouffees-delirantes-aiguees.html Lisez-le bien (on y parle aussi de toxiques).
Un psy qui contredit la prescription d’un autre, contredit automatiquement aussi le diagnostic, puisque la première est la conséquence du second.
La fumette. Pour un ado, si elle est occasionnelle, les risques sont probablement réduits. Mais, ce dont on parle maintenant, c’est d’une banalisation, d’une consommation régulière (journalière ?) et là, ce n’est plus la même chose. Moi non plus, le fait d’y avoir tâté, n’a pas altéré mes facultés, mais je n’étais déjà plus un ado et c’était épisodique. Le THC n’est pas le diable absolu, mais, là aussi, l’information est essentielle pour savoir où l’on va avec lui. Je dis bien l’information, pas les on-dit.