Il coupa l’hydre de l’eurocratie, puis il coupa l’hydre des lobbies, puis l’hydre de la finance, l’hydre des banques, l’hydre des politiciens corrompus, l’hydre des fascismes nationalistes.
Et tant d’autres hydres encore (il en existe tant !). Mais devant ces hydres morts, il ne faut pas saisi d’remords.