@Plus robert que Redford
Je suis intervenu « chez vous » et sur des centaines de sites similaires. Se remémorer ces ateliers sur trois décades, c’est comme fournir, sinon toute la musique, au moins servir de basse lancinante à cette superbe chanson (et son air forain de clowns tristes) qui un jour deviendra poème pour la postérité, dès que les ateliers ne seront plus chauffés ni éclairés (pourquoi faire avec des robots ?). On en est proche, un taraudage M8 peut aujourd’hui devenir, sur des sites gigantesques où œuvraient jadis des centaines de compagnons, un vrai casse-tête qui se négocie à l’extérieur, forcément. A en chialer, en effet ...