’’le vieux sage millénaire (Chinois !) nous enseigne que « l’erreur est humaine et la perfection inhumaine ! » ’’
> « Errare humanum est, perseverare diabolicum. »
Il ne faut pas confondre erreur et faute. Je distingue une erreur d’une faute par le fait que la première affecte seulement le fautif (le mot erreuriste n’existe pas), la faute nuit à autrui. Et je dirai :
errare humanum est, perseverare stultus.
Peccatum diabolicum.
Les fautes seules, et pas les erreurs, sont susceptible de faire l’objet d’un pardon.
Pardonner ne doit jamais signifier oublier