Ce parafit salaud, qui n’a même pas eu le courage de ses opinions...
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@Robin Guilloux
J’approuve totalement ce que vous venez d’écrire.
Après Faye et bien d’autres, et l’énorme pavé récemment paru de Stéphane Domeracki, dont je suis obligé de fragmenter la lecture pour ne pas avoir la nausée, le cas Heidegger est définitivement réglé.
C’était effectivement un « parfait salaud ». Je ne vois pas de meilleure définition et je n’ajouterai même pas d’autre commentaire : tout ça me dégoûte.