@pierrot
« la
très faible teneur de dérivés aluminiques dans les vaccins permet
d’augmenter leur efficacité. »
Ben
oui, c’est le principe de l’adjuvant : créer une inflammation
artificielle pour provoquer une réaction du système immunitaire qui
sera ainsi davantage mobilisé contre la substance vaccinale
elle-même.
Ce
qu’on vous dit, c’est que les sels d’aluminium qu’on utilise pour
provoquer cette inflammation artificielle ne sont pas éliminés
parce que l’aluminium à la différence du fer, du calcium, du
magnésium, du potassium, du zinc ou du cuivre n’est pas présent
naturellement dans les cellules.
Il
n’y a pas de métabolisme de l’aluminium comme il y en a pour ses
métaux qui sont évacués dans les urines en cas d’excédent (avec
cas particulier pour le fer).
Les
métaux lourds comme le mercure, le plomb, le plutonium ne sont pas
évacués non plus et c’est ce qui en fait la toxicité.
Ceci
dit, rien ne prouve que l’aluminium ingéré soit absorbé par
l’organisme précisément par qu’il ne participe pas aux réactions
chimiques de la vie.
Ce
qui est grave et ne respecte pas le principe de précaution le plus
élémentaire, c’est qu’avec le vaccin, il est injecté directement
dans l’organisme qui ne peut plus s’en défaire. Ensuite l’aluminium
migre, c’est certain, dans le cerveau, y provoquant forcément des
dégâts.