Bonsoir, Rosemar
Dommage que l’évocation plutôt réussie de ce superbe poème, si bien mis en musique, soit gâchée par le retour de ces hideuses digressions phonétiques ! Elles n’apportent strictement rien à votre texte, et même le dénaturent. « Les sonorités très douces du texte s’opposent à la vision atroce de ces suppliciés » — observation tout à fait pertinente — suffisaient amplement !
Mais peut-être aimeriez-vous qu’un article consacré à l’une de vos oeuvres musicales favorites soit, au risque d’en briser le charme, émaillé de rappels de l’emploi de demi-tons à la tierce supérieure ou de toute autre annotations du même type ?