L’auteur nous a fait la psyka du « patriarcat », un défunt accusé de toutes les turpitudes.
En ce 21e siècle, dans ces pays surenveloppés, le matriarcat est revenu en force, et avec les sacrifices humains qui vont avec. Le plus souvent par voie d’assassinat furtivement fait.
J’ai déjà donné la référence sur madame Teller, chef de bureau des affaires si viles et du sceau, qui exhibait sa fierté d’avoir obtenu autant de cadavres que lui permettait d’obtenir son emploi précédent, d’injuge-et-partie aux afaires matriarcales et antifamiliales.
L’auteur la fait quand, la psyka du matriarcat et de la gynarchie ?