Je suis bien content de ne pas avoir été le seul ici à rendre hommage à notre ami Beethoven ; le qualifier de géant serait encore trop peu.
Juste une remarque : l’Ode à la Joie est le poème de Schiller sur lequel Beethoven composa l’Hymne à la Joie. On confond, voire on inverse souvent les deux, comme vous le faites parfois dans l’article. Pas très grave...