La malbouffe, avant l’obésité énorme, est un marqueur de classe sociale ; un marqueur de niveau d’étude !
La vraie obésité jadis, non. C’était un dérèglement, souvent dû à des problèmes psy.
Vous savez, la liberté aujourd’hui, ce n’est pas d’écosser les haricots en famille, en blaguant, c’est bouffer des chips et des pizzas congelées décongelées au four à micro ondes, devant une téléréalité.
Il faut juste expliquer que, préparer son repas, ce n’est pas l’aliénation de la femme ; ça peut se faire à deux, et avec les enfants.
Les grands-pères, paysans de mon village, que j’ai connus, étaient secs comme des sarments ; leurs fils, qui n’ont connu que le tracteur et les intrants, étaient gros, mais du genre bon mangeur, amateurs de bonne chère.
Leurs fils sont « soufflés », pas obèses mais gros, ils n’ont plus de formes !
Mauvaises graisses, mauvaises céréales, mauvaises légumineuses, bouffe industrielle...
Les citadins eux ont, en plus un système immunitaire déficient, manque de vitamine D, paraît-il fléau à la mode.
Et aucun de ceux-là traités avant qu’il ne soit trop tard !! en toute légalité, et avec l’acceptation active de tous les bien-pensants.
Le Grand Pharma et la Grande Chimie sont main dans la main, sans plus de honte ils se marient. Alors.. comment s’étonner ?