La surmortalité n’est pas le nombre de morts du COVID
(...) Comment arrive-t-on à une surmortalité de 23000 personnes seulement ?
La méthode suivie a consisté à travailler à partir des moyennes
statistiques des décès des années précédentes. Comme le constatent les
auteurs de l’étude, 2019 a été une année « faste » en termes de
mortalité. Les grippes qui ont sévi de 2015 à 2017 ont causé de nombreux
décès parmi les plus fragiles, de telle sorte que la « réserve » pour
2019 était épuisée.
Comparer la mortalité de 2020 avec celle de la seule année 2019
introduit donc un biais majeur. Ce qu’il faut, c’est donc comparer la
mortalité de 2020 avec la moyenne des autres années.
Au final, cette méthode, dont le document ci-dessus donne le détail parvient à extrapoler que la
surmortalité due au COVID n’est « que » de 3,34% pour les plus de 65
ans, aucune surmortalité n’étant constatée pour les moins de 65 ans. Ces 3,34% font 23 000 personnes mortes en 2020, qui seraient restées vivantes si la « pandémie » n’avait pas eu lieu.
Soit 4 fois moins que les chiffres officiels.
Un phénomène également constaté en Italie...
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/03/27/ou-lon-prouve-que-le-covid-na-pas-cause-de-reelle-surmortalite-en-france/