A propos de tristesses, et de « tristesses surannées », ce petit cadeau ( « tant de nuits », de qui vous savez)
La chanson et le texte sont évidement de Joseph d’Anvers, un type aussi brillant que modeste, qui sait tout faire (boxer, écrire et chanter des chansons, écrire des polars -« juste une balle perdue », « la nuit ne viendra jamais »°)
Sa version originale, guitare/ voix / harmonica est à tomber, telle qu’il l’a exécutée le 1/4/2009 à l’Espace Barbara, dans le concert privé « hommage à Bashung des happy few », où j’étais dont j« ai le DVD qu’on n’a pas le droit de diffuser.
A défaut, celle du Bash ici (c’est fou de dire »à défaut« en parlant d’AB, mais le talent de ce type est impressionnant, avec Arman Mélies, je crois bien que ce sont »les successeurs", et pourtant je n’aime pas ce mot)
https://www.youtube.com/watch?v=KOzVfkZOgiQ