Ahhhh ! rosemar, rosemar, .....
où est parti ce temps béni, où les lettres, étaient des notes de musique, et où, la musique de ces sons muets, parlant au coeur, étaient de si belle composition ?
Quel malheur, quid pietatis !
Nous n’avons, après tout que, les chaînes, que nous méritons...
Surtout celles « télé-visées » fortes, fétides et étouffantes, alors qu’avant, on attendait que la page du livre se tourne, pour reprendre le fil de sa respiration.
Voyez, quel désaccouplement nous vivons, face à un écran de lumière, pourtant, si plat, si plat, si plat........Et qui nous prostitue, nous aussi, à un Nouveau Monde.