" Ils
ne peuvent le faire qu’en s’alliant avec la classe ouvrière,
seule classe réellement révolutionnaire de part sa position dans le
processus de production. "
Malheureusement, c’est un discours du
XIXème siècle, à l’époque où les sociétés étaient structurées
à l’intérieur d’états-nations qui avaient chacun leur cohérence
interne.
Aujourd’hui, la lutte des classes est
mondialisée et la classe ouvrière a été délocalisée avec les
outils de production qu’elle faisait fonctionner. Elle est
principalement en Chine.
La stratégie des nantis pour consrver
et augmenter leurs privilèges est mondiales.
L’arnaque de la pandémie a permis de
génaraliser les techniques de contrôle social à l’échelle
planétaire, et les GFAMs ont tissé un réseau detraçage que
l’humanité n’a jamais connu auparavant.
Comment en sortir ?
Les mésaventures de Zuckerberg et la
brutalité de Musk sont peur-être un signe de dégradation du
système, mais il ne faut pas espérer une amélioration tant que les
opprimés ne seront pas aussi bien organisés que leurs prédateurs.
Sans cette condition, les facéties des milliardaires risquent de
créer des catastrophes pour les salriés, comme c’est le cas pour la
moitié des salriés de Twitter mis à la rue, et pour l’autre moité
sommée de quitter le navire si elle ne se soumet pas corps et âme
au patron. C’est ça, le modèle des libertariens tromphants.